du 18.10 au 08.11.12
SOUFFRANCES ANTHROPIENNES
une exposition de MARTES BATHORI dans le carde du monstre festival
Type de projet : Expositions
WHO OWNS MY HEART
du 18.10 au 08.11.12
WHO OWNS MY HEART
une exposition de Philippe D. Elioupoulos
ICARE T’AS PAS VU VENUS
du 05.09 au 30.09.12
ICARE T’AS PAS VU VENUS
une exposition de THEODORA
STÉRÉOTROPISMES
du 15.05 au 03.06.12
STÉRÉOTROPISMES
une exposition de Gaël Grivet
Avec Francesco Huber et Isaline Vuille
Dans la nouvelle «l’École du prieuré», Sherlock Holmes et le docteur Watson découvrent des traces qui semblent provenir de la bicyclette de l’homme qu’ils recherchent. Holmes affirmant que le vélo s’éloignait de l’Ecole, Watson lui répond qu’il aurait également pu s’y diriger. S’en suit une démonstration de Holmes suivant laquelle la trace de la roue arrière est la plus épaisse car le poids y est supérieur, et il est notable qu’elle oblitère celle de la roue avant en plusieurs endroits, permettant de déterminer la direction du vélo.
Malgré l’effet produit par l’esprit déductif de Holmes, la démonstration est fausse, car la roue arrière oblitère de toute manière la roue avant, peu importe sa direction. Mais il aura fallu attendre 1996 pour que deux mathématiciens, Konhauser et Rodriguez réfutent la conclusion du détective et proposent une méthode rigoureuse pour déterminer la direction d’une bicyclette d’après ses traces.
L’installation «stéréotropismes», est issue de discussions entre Gaël Grivet et Francesco Huber, mathématicien, dont le sujet de mémoire portait sur ce sujet. L’exposition intègre également un texte d’Isaline Vuille, historienne d’art et curatrice, sur la «nécessaire» absence de l’artiste.
Ainsi que nous l’avons annoncé hier, M.Reichelt, inventeur d’un nouveau parachute pour aviateur, devait expérimenter son appareil ce matin. A huit heure, en présence d’un certain nombre de curieux, il s’élança, ainsi qu’il l’avait annoncé, de la première plate-forme de la Tour Eiffel. Par malheur, son engin ne fonctionna pas et l’audacieux inventeur vint s’écraser lamentablement sur le sol, y creusant un trou de quatorze centimètres. On se précipita à son secours, mais quelques secondes après son effroyable chute, il avait cessé de vivre. Son corps a été transporté immédiatement au poste du Gros-Caillou, où on constata qu’il avait le crâne et la colonne vertébrale fracturés ; de là il fut conduit à son domicile, rue Gaillon. L’infortuné inventeur était agé de trente-deux ans : il était célibataire.
D’après : Journal Débats politiques. 4 février 1912
UN PEU DE TENDRESSE DE BORDEL DE MERDE
du 26.04 au 06.05.12
UN PEU DE TENDRESSE DE BORDEL DE MERDE
Carte blanche à Yann Perol
Alain K, André Fortino, Federico Solmi, François-Thibaut Pencenat, Gio Black Peter, Loïc Connanski, Luigi & Luca, Ronald Dragonnier
« Un peu de tendresse de bordel de merde »*
*Dave St-Pierre, chorégraphie pour 22 danseurs, création 2006
De l’amour de l’art à l’amour de son prochain
Artistes :
Ronald Dagonnier
André Fortino
Kate Gilmore
Gio Black Peter
Alain K
François-Thibaut Pencenat
Luigi & Luca
Loïc Connanski
MUCK/SAINT VITUS RECORDS
du 05.04 au 22.04.12
MUCK/SAINT VITUS RECORDS
une exposition de MUCK en parallèle au festival ELECTRON
sortie du disque de Pandallougi
THE MATERIAL FEAT
THE MATERIAL FEAT
Du 23.02 au 18.03.2012
Une exposition collectiveà l’initiative de l’atelier Glass Fabrik et avec là collaboration du CIRVA avec Benoît Billotte / Maxime Bondu / collectif Encastrable / Harold Guérin / Marco Godinho / Nicolas Schneider (avec le soutien du FMAC)
Le projet THE MATERIAL FEAT est une exposition collective de 7 artistes interntionaux dans l’espace Labo autour de la pratique du verre comme outil de recherche plastique. Elle propose autour de ce matériau un panel de projets artistiques pluriels et prospectifs qui oscille entre art, design et artisanat.
La création contemporaine décloisonne les pratiques et se plaît à brouiller les pistes; entre savoir faire technique, recherche esthétique et acte créatif le verre devient un support de plus en plus exploiter dans la création contemporaine.
En partenariat avec l’atelier de souffleur de verre Glass-Fabrik et le Cirva (centre international de recherche sur le verre et les arts) de Marseille, 7 artistes (Benoît Billotte, Maxime Bondu, collectif Encastrable, Harold Guérin, Marco Godinho et Nicolas Schneider) ont mené un atelier résidence sur ce matériau l’été 2011.
POCHETTE – POSTER
le 27.01.12
POCHETTE – POSTER
un événement organisé par Sandrine Pelletier pour ses étudiants en communication visuel à la HEAD
PARADISE LOL
du 15.12.11 au 05.01.12
PARADISE LOL
Une exposition de Margaux Renaudin
proposée par Maria Trofimova
TRUE STORY
du 20.10.11 au 10.11.11
TRUE STORY
Une exposition de Andrea Aversa
ANDREA AVERSA – A TRUE STORY
20 Octobre – 10 Novembre 2011
Andrea Aversa, né à Milan (Italie) en 1979; vit et travaille à Paris.
Sa première exposition en Suisse A TRUE STORY regroupe sous ce titre plusieurs pièces qui tournent autour du côté fictionnel que l’on attribue aux choses.
Il raconte à sa manière des histoires. Les maquettes sont des aperçus de ces libre-fictions, laissées libres d’interprétation. Il travaille à partir de fragments qu’il glane et rassemble pour en donner des résultats qui ne se veulent pas majestueux. La pièce TRUE STORY est en soi le fruit d’une recherche d’image sur Google Map, mélangée à des éléments du quotidien (cartable à dessin, papier Canson).
Il travaille avec ces échantillons récoltés, qu’il adapte, afin de détourner de leur sens premier. Il reste dans une gamme de matériaux pauvre (papier mâché, tasseaux de bois, ou des cartes postales récupérées), afin de rester proche d’une histoire commune.
En effet, son travail reste proche de la culture populaire. Il s’y intéresse et se nourrit des connaissances du passé, en allant fouiller dans des sites archéologiques, dans des brocantes, mais aussi dans les musées ou dans les tableaux de Dürer et même dans les expériences architecturales (en Suisse, la cabane du Mont Rose).
Les dimensions oniriques que prennent parfois ses pièces, sont le résultat de son interprétation propre, une vision utopiste, qui tend à rendre esthétique des situations parfois dramatiques. Comme par exemple pour la pièce CLOUD SEEDING ou la recherche sur la Cabane du Mont Rose, qui met en avant les problèmes de l’irrationalité des gestes de l’humain vis à vis de la Nature. La série ON REFLECTION, se base sur une fiction basée sur des faits réels: Le Gouvernement italien aurait trouver une solution pour pour repousser les migrants en installant une série de miroir sur les côté de Lampedusa, créant ainsi dédoublement, une déformation optique les empêchant d’accoster.
Ces mondes utopiques poussent au plus loin certains détails afin de mettre en évidence des problèmes réels.
Son intérêt pour la fiction l’a ramené à s’intéresser aux textes de Derrida. Dans sa pièce, DE RERUM NATURA, les références et les symboles utilisés questionnent eux-même sur la manière de les interpréter, sur la symbolique que l’on donne aux choses.
Ces pièces sont toutes des tentatives de raconter des histoires en conservant ou mettant un doute sur leur véracité. Il les dit fictionnelles, on les trouve énigmatiques.
KA octobre 2011
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