obufuc -live le 071219

animation gif par J.Obuchowicz

samedi 7 décembre
dans le cadre de l’exposition de Guillaume Fuchs
O.B.U.F.U.C.
joue Falk Abel – Enter 2 Tapes 1986-1990
J.Obuchowicz
Prophet vs, Studio 440, TB 303
G.Fuchs
Voix, électronique

ouverture des portes 20h
concert à 20h30
environ 45minutes

Andrea Aversa – lecture performance – Andromaca pop

Andrea Aversa – Andromaca – POP, lecture performance environ 30 min.

Andromaca – POP a été présenté pour la première fois par l’artiste à Rome en avril 2018, à l’occasion de la convention ‘le fascisme italien au prisme des arts contemporain  » le fascisme italien dans le prisme de l’art contemporain ‘ organisé par l’Université ‘Roma III’ et ‘L’Ecole des hautes études en sciences sociales ‘de Paris, sous forme d’une conférence d’exécution y compris un diaporama de plus de 80 diapositives. Il cite Baudelaire, Coleridge, Pirandello et Le Corbusier, mélangeant leurs textes avec l’auteur des fictions et des poèmes. Il utilise la collection de films positifs de l’artiste, composée principalement de photos a été prise par l’artiste pour ses recherches personnelles, plus tard transformé avec l’utilisation de la technique de transfert à sec les rues de paris. La version vidéo a été enrichie de nouvelles diapositives et a été réalisée en Italien par l’artiste lui-même.

 

Andromaca – POP was first presented by the artist in Rome in April 2018,
on the occasion of the convention ‘Il fascismo italiano nel prisma delle arti
contemporanee’ ‘Italian Fascism in the prism of contemporary arts’organised by ‘Roma III’ University and ‘The Ecole of hautes etudes en sciences sociale’ of Paris, in the form of a performance lecture including a diaporama of over 80 slides.
It quotes Baudelaire, Coleridge, Pirandello and Le Corbusier, mixing their texts
with the author fictions and poems.
It uses the artist collection of positive films, mainly composed by photos that
have been taken by the artist for his personal research, later transformed with the use of dry transfer technique or eventually found on the streets of Paris.
The video version has been enriched with new slides and has been performed in
Italian by the artist himself.

le 18 septembre 2019
Discussion suite a la performance de Andrea Aversa

Love song(s) – Samuel Pajand, Heleen Treichler et Stéphane Vecchione

le 18 et 19 septembre
Love song(s)

Invité dans le cadre de Imaginary Spaces (semaine de performance), Samuel Pajand me propose une performance sonore, une mise en musique de textes. Cette création donna lieu à un premier concert le 18 et 19 septembre à l’occasion des 11 ans du Labo.

Love song(s) est d’abord un ensemble de chansons enregistrées (on pourrait aussi dire une chanson en quatre parties) résultant d’une semaine passé seul en studio avec une batterie et une basse. Ici, avec Stephane Vecchione à la batterie et Heleen Treichler à la basse, nous allons livrée ces chansons à la scène.

L'(Au)be – Martin Roehrich

du 19 au 22 septembre 2019
L'(Au)be
Martin Roehrich

(vidéo: Lisa Roehrich / son: Xavier Meeus)

Jeudi 19h
Vendredi 19h et 21h
Samedi 15h, 18h et 21h
Dimanche 12h, 15h, 18 et 21h

L’aube est ce passage de la journée entre la nuit et le jour. Elle désigne également la naissance ou le commencement d’un événement quelconque. On la divise en 4 phases. Ce sera la première performance d’un cycle de 12 performances intitulé «Isochrone». Nous ferons interagir les éléments et nos sens pour développer un langage méditatif. Le corps mesure les choses spatialement. Il se positionnera et se coordonnera pour s’extrapoler dans l’espace et il s’envolera grâce aux techniques de l’extase.

Martin Roehrich s’interroge sur le corps dans nos sociétés contemporaines en mettant l’accent sur ses caractères universels et (in)temporels. En se fondant, sur des principes et codes communs à tous, il développe une écriture du geste dans le cercle.

L'(Au)be
Pour sortir du chaos, je dessine un cercle pour me limiter dans l’espace. Le soleil est à son zénith, mon ombre indique le nord et l’heure de midi. C’est à partir d’opposition que nous trouverons l’équilibre. De l’obscurité à la lumière, du cauchemar au rêve, la scène se transformera en un lieu analogue. On cartographiera un dialogue du cercle des civilisations et de ses mythes.
A partir d’un axe central, les éléments se mettront en rotation et se synchroniseront pour symboliser une organisation du désordre en faisant coexister nos individualités. Le système aléatoire déclenchera une succession d’étapes, de structures dynamiques qui s’apparenteront à un cycle en révolution du quotidien. Le langage chorégraphique fragmentera un récit circulaire d’un éternel recommencement. La polarité des contraires créera un ensemble qui englobe. Il faudra s’imprégner, résister et maîtriser pour apprivoiser le geste. La danse et le cercle étant des entités autonomes et des significations universelles, ils feront office de passage vers le point de rencontre des cultures. Ils auront pour but de reproduire l’ordre cosmique à l’échelle humaine. Le plateau sera le lieu d’accueil qui nous permettra de sortir de l’œil du cyclone. Ce sera un voyage du corps au présent à travers lequel découle le passé pour mieux porter le futur. Il sera la finalité et non la destination. Le souffle comme une nécessité nous recentrera et nous amènera à notre base. Tout mouvement implique du temps puisqu’un mouvement suppose une position initiale à un moment donné et une autre à un moment ultérieur. Ainsi, du mouvement naît le temps, ou plutôt l’expérience du mouvement éveille en l’homme la connaissance du temps.

 

 

Cie. MultiRécidiviste

Concept, chorégraphie et performance : Martin Roehrich
Réalisateur Informatique Musical: Xavier Meeus
Réalisation vidéo: Lisa Roehrich

Remerciements

Espace Labo, Atelier Bird, Cie LaRibot, CND (Pantin), Charleroi Danse, Sévelin 36, Centre Culturel Suisse (Paris), ADC, Les enfants d’Edouard, Mysore Yoga Paris, La Bicyclette, Le barbier des Faubourgs, Le Courrier, les amis, la famille, les voisins, les rencontres et Sarah…