Wall Paper – à distance –  10 06 20 – 10 03 21

Visite uniquement sur rdv : contact@espacelabo.net

Wall Paper project
Work in progress

Depuis le 10 juin 2020, vous pouvez découvrir les propositions des artistes qui sont affichées les unes après les autres dans un ordre aléatoire.

Suite au Lockdown et en l’absence de présence physique des artistes, j’ai suggéré une transmission d’œuvres par e-mail et une réflexion sur la reproductibilité. J’ai proposé aux artistes de nous soumettre une œuvre reproductible sur papier par impression photocopieuse Rico noir blanc – au format A3 ou A4. Ces propositions sont imprimées puis collées au mur par l’équipe du Labo. Les artistes invités sont libres de présenter une image qui sera imprimée au format A4 ou A3, agrandie ou multipliée selon leurs instructions.

Ces images qui étaient visibles au travers de la vitrine, sont désormais accessibles dans la galerie en raison de sa réouverture. L’installation change régulièrement. Sans timeline précise, les projets Wall Paper se superposent au fil du temps durant ces prochaines semaines et mois. Telles les pages d’un livre ouvert, les murs du Labo déploient des contenus proposés à grande échelle, les uns après les autres.

Des photographies prisent régulièrement permettent de percevoir le développement des divers projets dans la totalité de l’espace et de garder une trace de ces installations in situ. La diffusion du projet sera visible via les diverses plateformes web et une publication regroupera l’ensemble des projets artistiques.

Avec les contributions de :

Lena Amuat & Zoë Meyer
Andrea Aversa
Céline Brunko
Thomas Bonny
Patricia Bucher
Ralph Bürgin
Davide Cascio
Jagna Ciuchta
Coline Davaud & Céline Privet – atelier supercocotte
Gustave Didelot
Emilie Ding
Stéphanie Gygax
Andreas Hochuli
Lea Jaecklin
Lisa Lurati
Laure Marville
Guy Meldem
Elena Montesinos
Yoan Mudry
Cyril Porchet
Arnaud Sancosme
Batia Suter
Aymeric Tarrade

Le Wall Paper est une proposition curatoriale de Karen Alphonso avec le soutien du Fonds cantonal d’art contemporain, DCS, Genève.


Video GiF – montage du 4 novembre : ici

Andrea Aversa – lecture performance – Andromaca pop

Andrea Aversa – Andromaca – POP, lecture performance environ 30 min.

Andromaca – POP a été présenté pour la première fois par l’artiste à Rome en avril 2018, à l’occasion de la convention ‘le fascisme italien au prisme des arts contemporain  » le fascisme italien dans le prisme de l’art contemporain ‘ organisé par l’Université ‘Roma III’ et ‘L’Ecole des hautes études en sciences sociales ‘de Paris, sous forme d’une conférence d’exécution y compris un diaporama de plus de 80 diapositives. Il cite Baudelaire, Coleridge, Pirandello et Le Corbusier, mélangeant leurs textes avec l’auteur des fictions et des poèmes. Il utilise la collection de films positifs de l’artiste, composée principalement de photos a été prise par l’artiste pour ses recherches personnelles, plus tard transformé avec l’utilisation de la technique de transfert à sec les rues de paris. La version vidéo a été enrichie de nouvelles diapositives et a été réalisée en Italien par l’artiste lui-même.

 

Andromaca – POP was first presented by the artist in Rome in April 2018,
on the occasion of the convention ‘Il fascismo italiano nel prisma delle arti
contemporanee’ ‘Italian Fascism in the prism of contemporary arts’organised by ‘Roma III’ University and ‘The Ecole of hautes etudes en sciences sociale’ of Paris, in the form of a performance lecture including a diaporama of over 80 slides.
It quotes Baudelaire, Coleridge, Pirandello and Le Corbusier, mixing their texts
with the author fictions and poems.
It uses the artist collection of positive films, mainly composed by photos that
have been taken by the artist for his personal research, later transformed with the use of dry transfer technique or eventually found on the streets of Paris.
The video version has been enriched with new slides and has been performed in
Italian by the artist himself.

le 18 septembre 2019
Discussion suite a la performance de Andrea Aversa

Love song(s) – Samuel Pajand, Heleen Treichler et Stéphane Vecchione

le 18 et 19 septembre
Love song(s)

Invité dans le cadre de Imaginary Spaces (semaine de performance), Samuel Pajand me propose une performance sonore, une mise en musique de textes. Cette création donna lieu à un premier concert le 18 et 19 septembre à l’occasion des 11 ans du Labo.

Love song(s) est d’abord un ensemble de chansons enregistrées (on pourrait aussi dire une chanson en quatre parties) résultant d’une semaine passé seul en studio avec une batterie et une basse. Ici, avec Stephane Vecchione à la batterie et Heleen Treichler à la basse, nous allons livrée ces chansons à la scène.

L'(Au)be – Martin Roehrich

du 19 au 22 septembre 2019
L'(Au)be
Martin Roehrich

(vidéo: Lisa Roehrich / son: Xavier Meeus)

Jeudi 19h
Vendredi 19h et 21h
Samedi 15h, 18h et 21h
Dimanche 12h, 15h, 18 et 21h

L’aube est ce passage de la journée entre la nuit et le jour. Elle désigne également la naissance ou le commencement d’un événement quelconque. On la divise en 4 phases. Ce sera la première performance d’un cycle de 12 performances intitulé «Isochrone». Nous ferons interagir les éléments et nos sens pour développer un langage méditatif. Le corps mesure les choses spatialement. Il se positionnera et se coordonnera pour s’extrapoler dans l’espace et il s’envolera grâce aux techniques de l’extase.

Martin Roehrich s’interroge sur le corps dans nos sociétés contemporaines en mettant l’accent sur ses caractères universels et (in)temporels. En se fondant, sur des principes et codes communs à tous, il développe une écriture du geste dans le cercle.

L'(Au)be
Pour sortir du chaos, je dessine un cercle pour me limiter dans l’espace. Le soleil est à son zénith, mon ombre indique le nord et l’heure de midi. C’est à partir d’opposition que nous trouverons l’équilibre. De l’obscurité à la lumière, du cauchemar au rêve, la scène se transformera en un lieu analogue. On cartographiera un dialogue du cercle des civilisations et de ses mythes.
A partir d’un axe central, les éléments se mettront en rotation et se synchroniseront pour symboliser une organisation du désordre en faisant coexister nos individualités. Le système aléatoire déclenchera une succession d’étapes, de structures dynamiques qui s’apparenteront à un cycle en révolution du quotidien. Le langage chorégraphique fragmentera un récit circulaire d’un éternel recommencement. La polarité des contraires créera un ensemble qui englobe. Il faudra s’imprégner, résister et maîtriser pour apprivoiser le geste. La danse et le cercle étant des entités autonomes et des significations universelles, ils feront office de passage vers le point de rencontre des cultures. Ils auront pour but de reproduire l’ordre cosmique à l’échelle humaine. Le plateau sera le lieu d’accueil qui nous permettra de sortir de l’œil du cyclone. Ce sera un voyage du corps au présent à travers lequel découle le passé pour mieux porter le futur. Il sera la finalité et non la destination. Le souffle comme une nécessité nous recentrera et nous amènera à notre base. Tout mouvement implique du temps puisqu’un mouvement suppose une position initiale à un moment donné et une autre à un moment ultérieur. Ainsi, du mouvement naît le temps, ou plutôt l’expérience du mouvement éveille en l’homme la connaissance du temps.

 

 

Cie. MultiRécidiviste

Concept, chorégraphie et performance : Martin Roehrich
Réalisateur Informatique Musical: Xavier Meeus
Réalisation vidéo: Lisa Roehrich

Remerciements

Espace Labo, Atelier Bird, Cie LaRibot, CND (Pantin), Charleroi Danse, Sévelin 36, Centre Culturel Suisse (Paris), ADC, Les enfants d’Edouard, Mysore Yoga Paris, La Bicyclette, Le barbier des Faubourgs, Le Courrier, les amis, la famille, les voisins, les rencontres et Sarah…

Mackapär for Imaginary Spaces

En collaboration avec OPTIC et la Maison Baron, Le Labo accueille leur résidents pour une performance sonore de 45 minutes.

Pour le finissage de l’exposition Engrammes de Benoît Billotte, une soirée performance sonore fut organisée dans la cave de l’espace Labo avec deux collectifs d’artistes musicien.


Karin Bäckström et Jon Perman, formant le collectif [Krig], participent actuellement à la résidence OPTIC à Picto, invité par Abigail Janjic.
Logé à la maison Baron pendant leur résidence de recherche à Picto, ils nouent des liens avec les autres résidents de Embassy for Foreign artist.

Au cours de leur séjour, ils ont entamé un processus de collecte de matériaux, sons et textiles, issus de leurs rencontres avec la ville et ses habitants. Comme un journal matériel de leur séjour.
Le collectif [Krig] créa un installation immersive constituée de tissus. Une sorte de toile d’araignée de tissus emmêlées qui crée un univers calfeutré pour l’écoute de leur création qui dura quatre heures environ.

[krig] est un rituel, un mouvement, un sentiment. [krig] s’est nommé ainsi d’après la tradition de l’esthétique punk provocatrice, une idée de la résistance et de l’éthique du bricolage. Ensemble, ils sortent des disques, réalisent des installations, gèrent une galerie indépendante dans une petite ville industrielle de Suède et organisent des projets artistiques utilisant le nom [krig] comme identité partagée. [krig] explore la possibilité de créer un espace temporaire à travers de nouvelles réalités et de nouveaux comportements sociaux, né grâce à des activités de création, de cafés-rencontres, de performances et de musique, ainsi que par une organisation artistique.

Cecile Laporte

Performance le 27 mars 2019 au Labo
Cécile Laporte
19h


Cécile Laporte est diplômée en anthropologie, artiste performative en espace public urbain, pédagogue de théâtre, porno-activiste, militante écologiste, porte-parole de mouvements squat, et auteur, entre autres, d’un ouvrage de référence sur l’utilisation chamanique de substances psychotropes. De passage à Genève, elle vient nous livrer un état de ses réflexions sur l’atmosphère et l’air conditionné…
Se pourrait-il qu’entre ces deux concepts réside le mystère de la naissance et de la décadence d’une communauté ?
A l’issue de la présentation, le débat se poursuivra autour d’un verre.

La SMALL du 24 juin au 2 juillet 2017 – Group Show

La SMALL, soirée d’ouverture
performance de Sebastien Leseigneur
photographie Carl June, juin 2017

 

SMALL
24 06 17 – 02 07 17
La Semaine Magique Amour Liberté Luttes

Le projet de la SMALL répond et fait suite à l’invitation de la Biennale des espaces d’art indépendants de Genève qui s’est déroulé du 16 au 18 juin 2017 sur la Plaine de Plainpalais.

Le Labo a décidé de s’inclure à BIG et d’utiliser l’espace du container comme salle d’attente, une salle de toutes les attentes, celles des organisateurs, des artistes, des visiteurs, des contenus. Nous avons invité Macaco Press à y faire de la contrebande et annonçé le programme de la SMALL qui se déroulera au Labo la semaine suivante.

La BIG remet sur le tapis une série de questions :

• comment se coordonner et faire des projets?
• quel est le statut donné à l’activité créatrice indépendante?
• comment définir et mobiliser des acteurs culturels?
• comment occuper les espaces qui nous sont octroyés?
• avec quels moyens?
• comment redistribuer les moyens mis à dispositions par les autorités?
• comment se définit la scène indépendante? Peut-être par une gymnastique des écarts: intellectuelle/non artistique/ proche de la communauté ?

C’est à partir de ces axes que le Labo propose de se transformer la semaine suivante en une salle d’occupation avec un dispositif, des imprimés et des intervenants acteurs de l’art contemporain mais aussi d’autres types d’expérimentations dans les domaines de la recherche, du logement et d’autres encore inconnus.

La question de l’occupation possède un double sens et peut renvoyer à un discours guerrier qui soulève des questions de médiation, de colonisation, d’appropriation, de territorialité, etc. En art il est certain que l’activité s’est déplacée ces dernières années vers une occupation du terrain, par des performances, des discussions, des rencontres, des projections. Ces activités en forte croissance générant de grandes richesses ne sont cependant pas ou peu rétribuées. Bien des champs d’étude ont permis de révéler l’existence d’une partie non?rémunérée de la production, la sphère du travail domestique est la plus évidente. À notre époque révolutionnée par les outils digitaux, cette question du travail est encore plus capitale car aujourd’hui chaque contenu, chaque post sur l’internet équivaut à un geste de travail gratuit.

La SMALL veut interroger les capacités d’agir dans ce contexte d’entremêlement du privé et du politique, et réfléchir à l’espace paradoxal existant entre autonomie affirmée et reconfiguration des dépendances travailleuses.

On en revient à la salle de toutes les
attentes (qui peut renvoyer à un discours
médical/curatif/prendre soin)

• celles des organisateurs,
• des artistes,
• des visiteurs,
• des contenus.

La proposition du Labo s’inspire de différentes dynamiques actuelles et passées. SMALL est à géométrie variable, avec une sensibilité pour des voix inattendues.

Le programme de la SMALL est en ligne ici.

 

Karen Alphonso, Sébastien Leseigneur

 

Artistes et intervenants participants

Karen Alphonso
Ismaël Abdallah
Diego Castro
Etienne Chosson
Eduardo Cruces
Luca Depietri
Frédéric Favre
Sabrina Fernández Casas
Filippo Filliger
Patricio Gil Flood
Cédric Henny
Andreas Hochuli
Sébastien Leseigneur
Marylou
Macaco Press
Martin Maeder
Maud Pollien

Louise Mestrallet
Miami Books
Elena Montesinos
Virginie Morillo
Radio Picnic
Stéphanie Probst
Sonia Rickli
Adeline Senn
Tilo Steireif
Dorothée Thébert
Cristián Valenzuela
Sebastien Verdon
Caroline Vitelli
Victoria Wigzell

SMALL Jour 1 Samedi 24 juin
17:00 – Ouverture de la SMALL

19:00 – Rencontre discussion autour du n°4 de la publication « Artiste? Et sinon tu fais quoi? »
avec Louise Mestrallet et Cristián Valenzuela

Suivi d’une « Olla commun » un repas convivial.
Menu : Tomaticán avec riz graneado

« Artiste? Et sinon tu fais quoi? »

« Alors qu’une minorité d’artistes, sortis d’école d’art ou autodidactes arrivent à vivre exclusivement de leur production artistique, la grande majorité d’entre-eux doit bien souvent alterner avec des boulots alimentaires « déconnectés du monde de l’art ». L’artiste mène souvent, si ce n’est toujours, une « pluri-activité ». Quel impact cela produit sur la créativité? Quelles sont les stratégies individuelles et collectives qu’il développe? Est-ce que ces réalités influent directement sur son travail et plus largement sur le milieu de l’art ? Cette particularité du monde artistique peut-elle trouver des résonances dans un système plus global?
Après avoir organisé tables rondes et rencontres à Bruxelles et Anvers, nous proposons de poursuivre « Artiste ? Et sinon tu fais quoi ? » au Labo, Genève dans le cadre de la SMALL, en présentant la quatrième home made publication du projet, autour d’une « Olla commun » un repas convivial.
Louise Mestrallet et Cristián Valenzuela

la SMALL en images samedi 24 juin 2017

Louise Mestrallet (1986)
Formée à la Haute Ecole d’Art et de Design (Genève), et un peu à l’Ecole de Recherche Graphique (Bruxelles), elle a depuis préféré se distancier des aspects “disciplinaires” de la production artistique pour se restituer sur des problématiques de l’art dans un champ élargi, mêlant recherches théoriques, projets collectifs, éditions, performances… Ses oeuvres se matérialisent (et se dématérialisent) pour mieux appréhender des questionnements d’ordre socio-politico-économico-poétiques. Elle vit et travaille à Bruxelles.
Cristián Valenzuela (1974)
Cristián Valenzuela est né à Santiago du Chili où il commence ses études en Arts Visuels à la Universidad de Chile. En 2007, et grâce à une bourse de l’ECAV, il continue ses recherches au sein du programme MAPS, en Suisse. Son centre d’intérêt se situe dans les décalages produits par l’application de modèles qui ne considèrent pas les contextes où ils sont appliqués, autrement dit la « réalité postcoloniale ». Pour diverses raisons, aussi bien professionnelles, artistiques que personnelles, il établit dès 2012, son centre d’opérations à Bruxelles.

 

Pendant la soirée diffusion de la playliste ouvrière créee par Patricio Gil Flood, Eduardo Cruces et Victoria Wigzell

22:00 – Perfo/lecture à partir du texte « Bizarre Love Triangle » de Jovan Mrvaljevic
Sébastien Leseigneur avec la participation de Caroline Vitelli

 

( photos Carl June)

 

Sébastien Leseigneur (1984) à Grasse, vit à Lausanne et Genève
Sébastien Leseigneur est artiste et curateur. Il organise des expositions, imagine et produit des livres rapprochant photographie, essais et poèmes. En 2012 il est invité par Joerg Bader à rejoindre l’équipe du Centre de la Photographie Genève où il est commissaire associé jusqu’à aujourd’hui.
En 2017 il s’investit dans le projet Labo et coorganise la SMALL avec Karen Alphonso

 


SMALL Jour 2 – Dimanche 25 juin

Sur les traces des squats culturels de Genève

 


SMALL Jour 3 – mardi 27 juin

MARDI 27
19:00
Tilo Steireif et BecBed

Conférence : «Rhétorique d’une capitale artistique alémanique actuelle et ha-ha».

En traversant différents thèmes, de la condition de l’artiste et son statut dans la société, de l’anarchisme à l’éducation, nous nous arrêterons sur le cas du nouvel écoquartier de la Jonction, son rapport à la rue, à l’espace public.

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BEC BED questionne par ailleurs le projet «Social Loft» des architectes Dreier Frenzel érigé sur le «cimetière» d’Artamis, lieu historique de la culture alternative genevoise. Ce nouvel écoquartier de la Jonction est analysé dans son rapport à la rue, à l’espace public. Nous invitons l’observateur à s’élever et en même temps à trouver son «ha-ha». BEC BED fait écho, là aussi, à la compensation, l’invitation au «très haut» qui devrait nous offrir une observation nouvelle. Le ha-ha est un dispositif qui efface les barrières et repositionne l’usager d’un environnement. BEC BED instaure donc une méthode de travail simple: produire de la compensation et de la décompensation pour mieux mesurer les interactions dans l’espace public.

20:30Bouffe pop

SMALL Jour 4 – mercredi 28 juin

MERCREDI 28

19:00
Sonia Rickli
« Des origines au Live Art Club »
Journal intime et interactif d’une pratique culturelle

 

20:00
Présentation par Sébastien Verdon
de Smallville, artist-run space à Neuchâtel

21:00
Banquet éthérée


SMALL Jour 5 – jeudi 29 juin

15:00 Stéphanie Probst – APPORTE TES FANZINES !
Archivage collectif et bordel collaboratif création de la petite fanzinothèque genevoise (fanzinoGe), inventaire virtuel et non exhaustif d’hier et d’aujourd’hui, de Genève et alentours.

 

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19:00 Dorothée Thébert et Filippo Filliger
Cocktail de Kéfir et lecture « L’absence de gouvernail » un projet d’écriture « filliousophique » dans ?lequel les auteurs interrogent le rapport entre?l’art et la vie qui les préoccupe au quotidien

20:00 Manger c’est tricher, Le Horla passe des disques


SMALL Jour 6 – vendredi 30 juin

19:00
Luca Depietri et Karen Alphonso
Les espaces indépendants et leur alter-naïveté.
Quel est le statut des espaces culturels
« alternatifs » ou « indépendants » ? Une discussion
autour de la bonne et de la mauvaise foi dans
les pratiques artistiques indépendantes.

20:00
« Pratiques exportables, tourisme,
opportunités, fantasmes »
Andreas Hochuli s’essayera à une présentation
Powerpoint sur le karma CO2, les échecs des
échanges culturels et l’apolitisme érémitique.


21:00
Repas convivial

22:00
Maudite passe des disques

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SMALL Jour 7 – dimanche 2 juillet

 

 

SMALL
Semaine Magique Liberté Amour Luttes
24 06 17 – 02 07 17

Tous les jours dès 15:00
Thé Librairie Expos Perfos Confs Repas Débats