Je rêve de toi même la nuit – Hadrien Dussoix

 

Une exposition de Hadrien Dussoix
visible jusqu’au 17 août 2019
du mercredi au vendredi
de 14h à 19h
et sur rendez-vous: contact@espacelabo.net
+41225567275

Présence de l’artiste
Vendredi 19 juillet 17h -21h / Samedi 20 juillet 17h-21h / vendredi 26 juillet 17h-21h / samedi 27 juillet 17h -21h

L’exposition a reçu le soutien du Fonds municipal d’art contemporain de la Ville de Genève.

Remerciement aux techniciens: Christopher Lamielle et à l’équipe de Materiuum

Breach the protocol – Labo’s ten years group show

Group show
15 11 18 – 23 03 19

Part 1
15 11 18 – 05 12 18

Part 2
06 12 18 – 05 01 19

Part 3
24 01 19
07 02 19
07 03 19
23 03 19

Le Group show démarré en novembre 2018 marque les dix ans d’activités du Labo et approfondit le concept d’exposition évolutive infinie déjà tenté fin 2015 avec l’expositon [?] [?] [r]. Cette fois, l’invitation amena les artistes à réfléchir à la structure, du point de vue architecturale et philosophique.
Partant de la proposition d’une restructuration collaborative, les artistes proposèrent dans un premier temps des interventions directement sur le lieu: révélation, soustraction, transformation. D’autres concepts se déployèrent dans l’espace sous forment conceptuelles ou poétiques.
Les multiples ouvertures faisant office de vernissages au sein de cette même exposition permet de voir l’évolution de certains projets, et l’ajout de nouvelles pièces. Ce projet aux possibles exponnentiels déclenche un processus amenant à la notion d’un projet infini par addition et soustraction continuel différé sur divers espaces dans des temporalités décalées, instauré par le dépliement des espaces, eux, définis: Vitrine – Espace – Cave.

L’exposition dense et foisonnante donne à voir diverses interprétations de la proposition de départ tout en visitant les possibles d’un espace d’art indépendant. Les multiples ouvertures faisant office de vernissage donnent à voir chaque mois, une nouvelle exposition avec les mêmes artistes, de nouveaux artistes, les mêmes pièce et de nouvelles pièces.

Le group show neverending show est prolongé jusqu’au 15 mai 2019.

 

Feuille de salle

Remerciement aux techniciens: Christopher Lamielle, Murat Bulut Aysan pour leur aide technique et à tous les artistes qui se sont investis dans ce projet.

Vitrine 7 – Guy Meldem

  1. Acid Rain Welcome 2018 mortier, pigments, acrylique, papier, et vernis sur toile, bois et charnières
  2. Affix achromat cryptos 2018 mortier, pigments, acrylique et papier sur toile, bois et charnières
  3. Edentulouslade alula 2018 mortier, pigments et acrylique sur miroir, bois et charnières

Vitrine AAA – Alexandre Amacker

Alexandre Amacker-Althaus
After all he keeps me alive, 2018
Installation, (fauteuil, table, lampe, magazines d’art, boites de Xanax), dimension variable

 

 

Texte by : Hannah G. Glasberg.
Alexandre AMACKER se met à nu! et seulement pour une semaine dans la vitrine du LABO. Un savant cocktail d’Art et de Xanax pour lui permettre de tenir dans l’ennui de la foule. Entouré d’Art, et de trop d’art, Alexandre A.-A. se dévoile en vitrine de jour et de nuit pour une performance unique.
Visible jusqu’au 15 10 18

On est ensemble – Basile Dinbergs

On est ensemble
un projet de Basile Dinbergs

Résidence du 10 juillet au 29 août 2018
Exposition à partir du 28 juillet, visite sur rendez-vous: contact@espacelabo.net
Repas ouvert à tous et prix libre les mercredis 15 / 22 / 29 août 2018

Ouverture au public samedi 28 juillet à 18h
Repas les 15 / 22 / 29 août 2018
Visite sur rendez-vous : contact@espacelabo.net

L’exposition entre dans le cadre du projet waiting rooms et a le soutien du Fonds cantonal d’art contemporain, OCCS – DIP, Genève.

Waiting for Akiyoshi – Akiyoshi Deschenaux, Nelly Haliti

Waiting for Akiyoshi

Salle d’attente

25 05 18 – 07 07 18

Akiyoshi Deschenaux
Peintures 2015-2017

Une salle d’attente proposée par Nelly Haliti

Akiyoshi Deschenaux présente une sélection de peintures à l’huile réalisées entre 2015 et 2018 qui témoignent de sa recherche artistique. Profondément lié à la pratique picturale, il se nourrit de références à l’abstraction expressionniste, à la peinture contemporaine ainsi qu’à tout ce qui capte son regard. Sa recherche artistique a débuté avec des études de Bachelor au Camberwell College of Arts à Londres et se poursuit depuis plusieurs années de manière autonome.

Pour entrer dans les toiles d’Akiyoshi Deschenaux il faut choisir son chemin, suivre du regard les zones de lumières et accepter des zones d’ombres. L’attention nécessaire pour passer à travers les différents espaces est équivalente à la concentration nécessaire au peintre pour construire les différents plans. Le jeu de lumière qui traverse la construction de chaque toile s’effectue grâce au passage d’une couleur diluée à une couleur plus dense. D’un espace claire, on bascule vers un espace plus profond, plus complexe, avec un poids et une matérialité palpable.

Passant du dessin à la peinture à l’huile, Akiyoshi Deschenaux apprivoise la ligne et les couleurs pour créer un mouvement intrinsèque à l’image. Chaque toile est une composition pour laquelle il détermine les nuances, les espaces et les interactions entre les formes de manière improvisée. Une palette de couleurs sombres se rencontrent entre les lignes de noir. La traçabilité de la série se fait avec brun, le gris et les différents verts. Des couleurs assemblées avec soin et une recherches de restriction, le choix d’une une température froide, indiquent une retenue bien mesurée.

Les lignes s’entrelacent et tissent un nouvel espace, un labyrinthe fait de strates, de surfaces opaques et d’espaces clairs. Le rythme de la composition de chaque toile détermine sa lecture et la vitesse du geste peut se lire instantanément. Un katana coupe les lignes et on bascule dans un espace infini dans lequel le regard peut se perdre sans retrouver la sortie.

Nelly Haliti

 

Echoes – Magali Dougados

Magali Dougados

Echoes
08 03 18 –14 04 18

Magali Dougados, investit la salle d’attente qu’est devenu le Labo.

Echoes, propose une selection de photographies faisant suite au «Vestibule» présenté à la Casagrande en 2017.

Questionnant l’espace et ses fonctions multiples, le temps d’un interstice indéterminé, le Labo explore et affirme cet entre-deux et ce temps en soit, dans l’attente d’un futur possible.

Vernissage & cocktails le 8 mars 2018

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En 2017 elle monte une première exposition personnelle dans un lieu culturel privée de Genève, la Casagrande à Carouge. Ce travail sous le titre de « Vestibule » propose un mélange de photographies issues de différentes sources, aussi bien techniques que de séries déjà réalisées et également de ses propres archives. Elle invite le soir du vernissage deux musiciens, Perrine Berger et Paul Becquelin, à créer une ambiance sonore à deux guitares pour accompagner la lecture des photographies.

Sous couvert de nappe musicale, l’exposition le temps d’une performance sonore s’offre à voir dans ce deuxième temps sous un aspect cinématographique.

Ce décloisonnement est un point fort de son travail, les séries faisant initialement parties d’un ensemble, deviennent et se laissent assemblées dans un autre ensemble possible. Un regard singulier où la figure humaine n’est pas visible mais pourtant bien présente. Un espace d’attente où se joue des scènes prises aux frontières d’indications scéniques.

Dans le cadre des salles d’attentes proposée au Labo par Karen Alphonso, Magali Dougados approfondie cette liberté de construction initiée précédement à la Casagrande. Un mélange décloisonné de photographies issues à nouveau de série existante et d’archives, mais cette fois encore plus personnelle, rassemblant des images de sa vie intime réalisées lors de situations privées.

Articulée sous un nouveau titre « Synopsie », qui fait référence de manière allégorique à la synesthésie. La synesthésie étant un trouble de la perception des sensations, qui fait éprouver deux perceptions simultanées à la sollicitation d’un seul sens. La synopsie comme une forme de synesthésie qui touche les personnes qui associent des sons et des couleurs ou qui entendent en couleur.

Ainsi « Synopsie » comme un autre vestibule, un espace où des images se rencontrent, se racontent. Un espace d’intérieur où s’active une mécanique de sens à des images. Un espace de latence dans lequel se questionne l’image, dans ce qu’elle est et contient. Un lieu de liens possibles.

Finissage le 14 avril
concert de Perrine & Paul à 20h

Drive – 01 03 18

Drive an audiovisual EP

Un projet de Nathan Baumann et Silikat
Avec Pascal Lopinat | Jona Nido | Jérémie Krüttli
Mixé par Louis Jucker
Vidéo par Swann Thommen
Durée: 17’48’’
© 2018, Lexico Records

Projection du Ep Drive ( 18 minutes)à la cave

 


Drive est né de la rencontre de Nathan Baumann, musicien et compositeur de La Chaux-de-Fonds, et de Swann Thommen, vidéaste et producteur de musique électronique sous le nom de Silikat. Après une année et demie de productions diverses et plus d’une vingtaine de compositions, ils décident d’en sélectionner quatre susceptibles de créer une cohérence stylistique.
Ils font appel à trois musiciens afin d’amplifier leurs compositions, Jona Nido pour les parties guitare, Pascal Lopinat pour les sections rythmiques et Jérémie Krütlli pour les parties basse. Une fois les quatre compositions terminées, elles ont été mixées sur un enregistreur à bande par Louis Jucker début 2017 dans le studio d’Hummus Records.

Partis dès le départ de l’idée de produire une bande sonore pour la voiture accompagnant un voyage hypothétique, Drive s’est mué en projet vidéo racontant cette virée imaginaire. A partir d’images capturées dans Google Earth, Drive nous propose une traversée dans les méandres de Los Angeles, ville urbaine aux ramifications multiples où la voiture est maître. Suivant quatre tableaux, le spectateur est amené à découvrir cette cité gigantesque et ces alentours qui sont sans aucun doute l’un des bastions du rêve américain et d’une industrie cinématographique mondiale. L’esthétique de Google Earth confère au paysage urbain une dimension semi-destructive, proche d’un jeu vidéo des années 2000 et les juxtapositions des différents plans nous amènent à percevoir cette traversée de manière fragmentaire.

Les quatre productions sonores quant à elles, sont empreintes d’une forte influence 1990-2000 et laissent place à différentes expérimentations stylistiques passant d’un morceau à consonance indie-pop (Brokes, Attack) à des envolées cinématiques (Start, End).

 

 

 

19h PLACES

Une performance audiovisuelle de Silikat Durée: 32’30’’
©2018

Places est le nouveau projet audiovisuel de Silikat. Oscillant entre recherches sonores et ambiant musiques cette exploration d’environ 35 minutes nous mène dans différents territoires audiovisuels. Dans la lignée esthétique de ces précédentes productions Silikat nous propose de survoler différents endroits mentaux et phantasme?s a? la limite de l’abstraction géométrique à l’aide d’images de synthèse.

Info / Liens: www.silikat.ch
www.swannthommen.ch

20h HORSES

Une performance audiovisuelle de Primitive Trails durée: 30’
©2018

Primitive Trails c’est Dayla et Steve, deux guitares, de l’expérimental, du rock, de la noise, de l’ambiant, toujours psychédélique, toujours proche des sons de la nature et toujours en mouvement. Après quelques albums de pure improvisation, Primitive Trails évolue, en 2018, vers un univers plus construit, sans jamais quitter son penchant pour l’impro, qui est maintenant très proche de la vide?o home-made expérimentale et poétique, visible en live.

Info / Liens https://www.facebook.com/primitivetrailsmusic/ https://primitivetrails.bandcamp.com

 

21h Un ciné-concert électronique

Collectif Cycle Opérant durée: 75’
©2017

Accompagné d’un cow-boy qui lui sert de garde du corps, Mr West débarque en Union soviétique. Là, profitant de sa crédulité, des voyous lui soutirent de l’argent en évoquant de méchants et sanguinaires bolcheviks…
Pastichant le genre holywoodien de la course-poursuite et du burlesque, Lev Kuleshov et ses élèves de l’Institut national du cinéma lancent avec ce film un véritable OVNI dans le cinéma sovétique des années 20.

Fondé en 2000à La Chaux-de-Fonds, le collectif Cycle Opérant est actif dans la crétion de musique électronique, l’organisation de happenings et d’événements culturels, ainsi que dans diverses collaborations avec d’autres disciplines artistiques.
Au fil des ans, Cycle Opérant s’est produit dans de nombreux clubs et festivals à travers toute la Suisse, partageant la scène avec Plaid, Funkstörung, Vitalic, The Modernist, The Young Gods, Arnaud Rebotini, Fairmont ou encore Mira Calix.

Toujours avide d’expérimentation et de rencontre avec un large public, Cycle Opérant organise également divers événements électroniques, dont notamment les Digitales, festival itinérant dont le collectif est l’une des chevilles ouvrières depuis 2006.

 

 

 

Nathan Baumann Né en 1987, musicien diplômé du Conservatoire de La Chaux-de-Fonds et de la HEMU de Lausanne, co-fondateur avec Louis Jucker de l’association Indago, administrateur inde?pendant pour structures culturelles, directeur artistique du collectif The Fawn. Se consacre dès 2010 à la production et à la gestion culturelle, plus spécifiquement dans le domaine des musiques actuelles. Notamment : release manager chez Hummus Records, administrateur de l’association KA / Bikini Test, administrateur et chargé de production pour l’association Indago. Crée The Fawn en 2010, un collectif réunissant une trentaine de musiciens, graphistes, vidéastes et techniciens avec lequels il produit 4 albums et autant de EP. Diverses créations originales, lie?es a? des lieux, dont Collegium à la collégiale de St-Imier en co-production avec le CCL, Fours-à-Chaux à St-Ursanne et Tetsuo, création d’une bande originale pour le festival 2300 plan 9 au Temple-Allemand à La Chaux-de-Fonds. Collabore à des productions telles que Gaspard de La Montagne, Harpe, Nut Nut, Prune Carmen Diaz, Antoine Joly et Silikat. www.thefawn.ch www.indago.ch


Swann Thommen Né en 1979, artiste diplômé de la Haute Ecole d’Art et et de Design à Genève (HEAD). Swann Thommen travaille en tant qu’artiste dans le domaine de l’art contemporain. Il a été membre du collectif_fact (www.collectif-fact.ch) de 2002 à 2009. Ces projets sont réalisés sous des formes diverses : installation vidéo, sculpture, image de synthèse, photographie numérique. Son travail traite essentiellement des questions liées à la représentation de l’espace architectural et cinématographique. Parallèlement à son activité artistique, il produit de la musique électronique sous le nom de Silikat sous le label Hummus Records et créer le label Lexico Records. Auto production DIY mélangeant ces influences indie, new wave, et électro il nous plonge dans un univers mélodique et dansant. Après quelques dates en suisse romande ou il produit pour ses live act une scénographie vidéo, il sort en 2014 son deuxième EP Vision and Colors, trois titres énergiques, condensés d’électro pop sous le label Hummus Record. Avec la sortie en mars 2016 de son premier album Abstract Division sous Hummus Records, Silikat poursuit son exploration sonore en nous proposant un univers musicale toujours aussi dynamique et dansant dans un registre résolument électro pop. www.swannthommen.ch
www.silikat.ch