Type de projet : Expositions
Vitrine 7 – Guy Meldem
- Acid Rain Welcome 2018 mortier, pigments, acrylique, papier, et vernis sur toile, bois et charnières
- Affix achromat cryptos 2018 mortier, pigments, acrylique et papier sur toile, bois et charnières
- Edentulouslade alula 2018 mortier, pigments et acrylique sur miroir, bois et charnières
Vitrine AAA – Alexandre Amacker
Alexandre Amacker-Althaus
After all he keeps me alive, 2018
Installation, (fauteuil, table, lampe, magazines d’art, boites de Xanax), dimension variable
Texte by : Hannah G. Glasberg.
Alexandre AMACKER se met à nu! et seulement pour une semaine dans la vitrine du LABO. Un savant cocktail d’Art et de Xanax pour lui permettre de tenir dans l’ennui de la foule. Entouré d’Art, et de trop d’art, Alexandre A.-A. se dévoile en vitrine de jour et de nuit pour une performance unique.
Visible jusqu’au 15 10 18
On est ensemble – Basile Dinbergs
On est ensemble
un projet de Basile Dinbergs
Résidence du 10 juillet au 29 août 2018
Exposition à partir du 28 juillet, visite sur rendez-vous: contact@espacelabo.net
Repas ouvert à tous et prix libre les mercredis 15 / 22 / 29 août 2018
Ouverture au public samedi 28 juillet à 18h
Repas les 15 / 22 / 29 août 2018
Visite sur rendez-vous : contact@espacelabo.net
L’exposition entre dans le cadre du projet waiting rooms et a le soutien du Fonds cantonal d’art contemporain, OCCS – DIP, Genève.
Waiting for Akiyoshi – Akiyoshi Deschenaux, Nelly Haliti
Waiting for Akiyoshi
Salle d’attente
25 05 18 – 07 07 18
Akiyoshi Deschenaux
Peintures 2015-2017
Une « salle d’attente » proposée par Nelly Haliti
(Première exposition solo)
Akiyoshi Deschenaux présente une sélection de peintures à l’huile réalisées entre 2015 et 2018 qui témoignent de sa recherche artistique. Profondément lié à la pratique picturale, il se nourrit de références à l’abstraction expressionniste, à la peinture contemporaine ainsi qu’à tout ce qui capte son regard. Sa recherche artistique a débuté avec des études de Bachelor au Camberwell College of Arts à Londres et se poursuit depuis plusieurs années de manière autonome.
Pour entrer dans les toiles d’Akiyoshi Deschenaux il faut choisir son chemin, suivre du regard les zones de lumières et accepter des zones d’ombres. L’attention nécessaire pour passer à travers les différents espaces est équivalente à la concentration nécessaire au peintre pour construire les différents plans. Le jeu de lumière qui traverse la construction de chaque toile s’effectue grâce au passage d’une couleur diluée à une couleur plus dense. D’un espace claire, on bascule vers un espace plus profond, plus complexe, avec un poids et une matérialité palpable.
Passant du dessin à la peinture à l’huile, Akiyoshi Deschenaux apprivoise la ligne et les couleurs pour créer un mouvement intrinsèque à l’image. Chaque toile est une composition pour laquelle il détermine les nuances, les espaces et les interactions entre les formes de manière improvisée. Une palette de couleurs sombres se rencontrent entre les lignes de noir. La traçabilité de la série se fait avec brun, le gris et les différents verts. Des couleurs assemblées avec soin et une recherches de restriction, le choix d’une une température froide, indiquent une retenue bien mesurée.
Les lignes s’entrelacent et tissent un nouvel espace, un labyrinthe fait de strates, de surfaces opaques et d’espaces clairs. Le rythme de la composition de chaque toile détermine sa lecture et la vitesse du geste peut se lire instantanément. Un katana coupe les lignes et on bascule dans un espace infini dans lequel le regard peut se perdre sans retrouver la sortie.
Nelly Haliti

You would – Carl June
Echoes – Magali Dougados
Magali Dougados
Echoes
08 03 18 –14 04 18
Magali Dougados, investit la salle d’attente qu’est devenu le Labo.
Echoes, propose une selection de photographies faisant suite au «Vestibule» présenté à la Casagrande en 2017.
Questionnant l’espace et ses fonctions multiples, le temps d’un interstice indéterminé, le Labo explore et affirme cet entre-deux et ce temps en soit, dans l’attente d’un futur possible.
Vernissage & cocktails le 8 mars 2018
En 2017 elle monte une première exposition personnelle dans un lieu culturel privée de Genève, la Casagrande à Carouge. Ce travail sous le titre de « Vestibule » propose un mélange de photographies issues de différentes sources, aussi bien techniques que de séries déjà réalisées et également de ses propres archives. Elle invite le soir du vernissage deux musiciens, Perrine Berger et Paul Becquelin, à créer une ambiance sonore à deux guitares pour accompagner la lecture des photographies.
Sous couvert de nappe musicale, l’exposition le temps d’une performance sonore s’offre à voir dans ce deuxième temps sous un aspect cinématographique.
Ce décloisonnement est un point fort de son travail, les séries faisant initialement parties d’un ensemble, deviennent et se laissent assemblées dans un autre ensemble possible. Un regard singulier où la figure humaine n’est pas visible mais pourtant bien présente. Un espace d’attente où se joue des scènes prises aux frontières d’indications scéniques.
Dans le cadre des salles d’attentes proposée au Labo par Karen Alphonso, Magali Dougados approfondie cette liberté de construction initiée précédement à la Casagrande. Un mélange décloisonné de photographies issues à nouveau de série existante et d’archives, mais cette fois encore plus personnelle, rassemblant des images de sa vie intime réalisées lors de situations privées.
Articulée sous un nouveau titre « Synopsie », qui fait référence de manière allégorique à la synesthésie. La synesthésie étant un trouble de la perception des sensations, qui fait éprouver deux perceptions simultanées à la sollicitation d’un seul sens. La synopsie comme une forme de synesthésie qui touche les personnes qui associent des sons et des couleurs ou qui entendent en couleur.
Ainsi « Synopsie » comme un autre vestibule, un espace où des images se rencontrent, se racontent. Un espace d’intérieur où s’active une mécanique de sens à des images. Un espace de latence dans lequel se questionne l’image, dans ce qu’elle est et contient. Un lieu de liens possibles.
Finissage le 14 avril
concert de Perrine & Paul à 20h
Drive – 01 03 18
Drive an audiovisual EP
Un projet de Nathan Baumann et Silikat
Avec Pascal Lopinat | Jona Nido | Jérémie Krüttli
Mixé par Louis Jucker
Vidéo par Swann Thommen
Durée: 17’48’’
© 2018, Lexico Records
Drive est né de la rencontre de Nathan Baumann, musicien et compositeur de La Chaux-de-Fonds, et de Swann Thommen, vidéaste et producteur de musique électronique sous le nom de Silikat. Après une année et demie de productions diverses et plus d’une vingtaine de compositions, ils décident d’en sélectionner quatre susceptibles de créer une cohérence stylistique.
Ils font appel à trois musiciens afin d’amplifier leurs compositions, Jona Nido pour les parties guitare, Pascal Lopinat pour les sections rythmiques et Jérémie Krütlli pour les parties basse. Une fois les quatre compositions terminées, elles ont été mixées sur un enregistreur à bande par Louis Jucker début 2017 dans le studio d’Hummus Records.
Partis dès le départ de l’idée de produire une bande sonore pour la voiture accompagnant un voyage hypothétique, Drive s’est mué en projet vidéo racontant cette virée imaginaire. A partir d’images capturées dans Google Earth, Drive nous propose une traversée dans les méandres de Los Angeles, ville urbaine aux ramifications multiples où la voiture est maître. Suivant quatre tableaux, le spectateur est amené à découvrir cette cité gigantesque et ces alentours qui sont sans aucun doute l’un des bastions du rêve américain et d’une industrie cinématographique mondiale. L’esthétique de Google Earth confère au paysage urbain une dimension semi-destructive, proche d’un jeu vidéo des années 2000 et les juxtapositions des différents plans nous amènent à percevoir cette traversée de manière fragmentaire. Les quatre productions sonores quant à elles, sont empreintes d’une forte influence 1990-2000 et laissent place à différentes expérimentations stylistiques passant d’un morceau à consonance indie-pop (Brokes, Attack) à des envolées cinématiques (Start, End).
19h PLACES
Une performance audiovisuelle de Silikat Durée: 32’30’’
©2018
Places est le nouveau projet audiovisuel de Silikat. Oscillant entre recherches sonores et ambiant musiques cette exploration d’environ 35 minutes nous mène dans différents territoires audiovisuels. Dans la lignée esthétique de ces précédentes productions Silikat nous propose de survoler différents endroits mentaux et phantasme?s a? la limite de l’abstraction géométrique à l’aide d’images de synthèse.
Info / Liens: www.silikat.ch
www.swannthommen.ch
20h HORSES
Une performance audiovisuelle de Primitive Trails durée: 30’
©2018
Primitive Trails c’est Dayla et Steve, deux guitares, de l’expérimental, du rock, de la noise, de l’ambiant, toujours psychédélique, toujours proche des sons de la nature et toujours en mouvement. Après quelques albums de pure improvisation, Primitive Trails évolue, en 2018, vers un univers plus construit, sans jamais quitter son penchant pour l’impro, qui est maintenant très proche de la vide?o home-made expérimentale et poétique, visible en live.
Info / Liens https://www.facebook.com/primitivetrailsmusic/ https://primitivetrails.bandcamp.com
21h Un ciné-concert électronique
Collectif Cycle Opérant durée: 75’
©2017
Accompagné d’un cow-boy qui lui sert de garde du corps, Mr West débarque en Union soviétique. Là, profitant de sa crédulité, des voyous lui soutirent de l’argent en évoquant de méchants et sanguinaires bolcheviks…
Pastichant le genre holywoodien de la course-poursuite et du burlesque, Lev Kuleshov et ses élèves de l’Institut national du cinéma lancent avec ce film un véritable OVNI dans le cinéma sovétique des années 20.
Fondé en 2000à La Chaux-de-Fonds, le collectif Cycle Opérant est actif dans la crétion de musique électronique, l’organisation de happenings et d’événements culturels, ainsi que dans diverses collaborations avec d’autres disciplines artistiques.
Au fil des ans, Cycle Opérant s’est produit dans de nombreux clubs et festivals à travers toute la Suisse, partageant la scène avec Plaid, Funkstörung, Vitalic, The Modernist, The Young Gods, Arnaud Rebotini, Fairmont ou encore Mira Calix.
Toujours avide d’expérimentation et de rencontre avec un large public, Cycle Opérant organise également divers événements électroniques, dont notamment les Digitales, festival itinérant dont le collectif est l’une des chevilles ouvrières depuis 2006.
Nathan Baumann Né en 1987, musicien diplômé du Conservatoire de La Chaux-de-Fonds et de la HEMU de Lausanne, co-fondateur avec Louis Jucker de l’association Indago, administrateur inde?pendant pour structures culturelles, directeur artistique du collectif The Fawn. Se consacre dès 2010 à la production et à la gestion culturelle, plus spécifiquement dans le domaine des musiques actuelles. Notamment : release manager chez Hummus Records, administrateur de l’association KA / Bikini Test, administrateur et chargé de production pour l’association Indago. Crée The Fawn en 2010, un collectif réunissant une trentaine de musiciens, graphistes, vidéastes et techniciens avec lequels il produit 4 albums et autant de EP. Diverses créations originales, lie?es a? des lieux, dont Collegium à la collégiale de St-Imier en co-production avec le CCL, Fours-à-Chaux à St-Ursanne et Tetsuo, création d’une bande originale pour le festival 2300 plan 9 au Temple-Allemand à La Chaux-de-Fonds. Collabore à des productions telles que Gaspard de La Montagne, Harpe, Nut Nut, Prune Carmen Diaz, Antoine Joly et Silikat. www.thefawn.ch www.indago.ch
www.silikat.ch
It will rise from the ashes – Marie Matusz
It will rise from the ashes
Marie Matusz
It will rise from the ashes
Marie Matusz
17 11 17 – 17 12 17
L’exposition IT WILL RISE FROM THE ASHES exploite des questions et réflexions sur les structures qui nous entourent à différents niveaux (social et publique, éducatifs et culturels, économique et politique, esthétique, passé, présent, et potentiellement futur).
Le titre renvoi à la devise de la Ville de Détroit (Michigan) «It shall rise from the ashes». «Shall» se voit remplacé de «will» et ainsi supprime la potentialité exprimée dans l’expression, donnant place à un statement certifiant que «quelque chose» renaîtra des cendres.
L’étude que l’artiste mène sur les différentes structures porteuses et meneuses de notre société, tant sur des plans architecturaux que mentaux, par exemple, se conclut par des questionnement sur la déconstruction – comprise en tant que telle comme une structure existant en soi. Tout objet ou lieux déconstruit, n’est vu de la sorte que par connaissance de son état précédent. Celui qui ne connait pas, ou bien ignore l’état passé, fait alors face à une structure existant pour soi, potentiellement riche de nouveaux devenirs.
L’aspect spéculatif des dimensions à venir préoccupe l’artiste et se retrouve ainsi dans l’affirmation «It will rise from the ashes», qui cherche ainsi à transmettre mais aussi développer le potentiels imaginatifs des spectateurs par la création de situation installatives semi-scientifiques et fictionnelles.
L’ensemble des recherches artistiques et théoriques se portent sur ce qu’elle appelle «une multiplicité des états de consciences» liées à une étude d’ensemble des systèmes auxquels nous prenons part dans notre société tant de manière consciente qu’inconsciente.
L’étude de la psychophonie et les réactions des matières sonores sur le corps et l’esprit ont menées mon travail à de nouveaux sujets d’élargissement toujours plus invisibles les uns que les autres. À ce jour, ses recherches se portent d’avantage sur le cerveau et les connections synaptiques, en explorant les structures qui nous mènent et guident pour créer, donner ou même vendre, «du sens».
Comment I’assemblage d’élément nous dirige-t-il pour «construire». D’une manière similaire à Slavoj Žižek, elle considère tant le spectateur qu’elle-même comme détective en quête d’une compréhension, pour assimiler d’autres notions plus ou moins éloignées de nous, pour appréhender le monde et le faire notre – construire notre système de Réalité.
Pour cela, l’ensemble des pièces qu’elle réalise sont tant outils qu’oeuvres, et n’existent que dans leur superposition les unes aux autres pour dépasser leur propre structure afin d’appartenir à de nouveaux seuils de compréhensions.
L’ensemble de ses recherches seront publiées au mois d’août 2018, dans un coffret de quatre livres dont trois composés comme un espace agencés, et un de théorie.
It will rise from the ashes
18 novembre 2017 – 17 décembre 2017
Vernissage le 17 novembre dès 17h
Visite sur rendez-vous: contact@espacelabo.net
L’exposition a reçu le soutien du FMAC et du FCAC et de Pro Helvetia.
MOTO — 03.11.17 – Virginie Morillo
Installation et projection vidéo
Nous entrons dans un espace sombre, une odeur présente rappelle quelque chose de sale de plastique, du cambouis. Les pneumatiques usagés et entassés l’un sur l’autre, forment un mur qui nous bouche la vue, un mur de tas de pneus. Un passage est possible par la gauche et la droite; nous osons les contourner. Nous nous retrouvons face à trois écrans, vision superposée d’un souvenir un souvenir en flash back. LA PROCESIÓN DE LAS SOMBRAS est projeté sur ces écrans flottants dans l’espace du Labo. Des images en couleur, dans un décor qui nous est étrangé, des collines désertes, des cactus est des hommes qui avancent rebondissent comme sur des chevaux, sur des motos, au ralenti nous faisant face, dans un contre jour, dans le contraste du soleil au zenith, les motards coiffés de chapeau mexicains, portent dernières eux des mots sur des draps de soie, qui vibrent doucement dans le vent. Les mots échappent et flottent dans l’air, tels des incantations maya. Ces poèmes écrits à l’encre noire sur des soies teintées d’encres naturelles effleurent les couleurs magenta, jaune-doré, vert et bleues.
Des mots comme «PIERDE TU ALMA» (LOSE YOUR SOUL) laissent l’imagination des spectateurs s’envoler et donne mystère sur cette chevauchée de cavaliers mexicains dont on ignore la destinée. Entre deux monde, le temps parait suspendu. Un son de moteur gronde nous donne la chaire de poule. Oppressante vibration qui se mélange avec l’odeur des pneumatiques et le son diffusé depuis le sous-sol. Nous osons passer sous les écrans et descendons un escalier qui amène à une deuxième salle éclairée par les vibrations d’un film en noir et blanc projeté lui directement contre le mur du fond. Sur une musique crée par Système 8 (Adrien Heiniger et Marie Matusz), des images en gros plan, contrastes et fumée nous rappellent peu à peu cette performance que l’on vit sur la plaine de Plainapalais pendant la Biennale des espace d’art indépendant de Genève 2017.
Virginie Morillo déploie son œuvre de manière hétérogène. Les pièces rebondissants en riches émulsions, certains détails se retrouvent dans d’autres travaux. Ses recherches perpétuées se prononcent comme un jeu décomplexées, située dans le pli, dans l’interstice. Indéfinissable par sa modulation constante, les drapeaux qui la démarquent s’ajuste à sa forme. Douce et fragile la soie teintée d’encre naturelle criant des mots-poèmes peints sur ces chassis tendus, se déchire lors des performances. De ce travail sur la soie et les bikers, deux films (RIDERS ON THE STORM, Suisse, 2017 et LA PROCESIÓN DE LAS SOMBRAS Mexique, 2014) présentés en double projection au Labo le 3 novembre dans le cadre d’une installation nommée MOTO, composée d’écrans en suspension et d’un mur de pneus. Dans son approches de la scène contemporaine, le regard et les connexions complexes démontées, critiquées, elle transgresse les genres se faufile à travers en cercle pernicieux comme une étouffante confusion circulaire et concentrique, celle des motards ce 17 juin 2017 sur la Plaine de Plainpalais pendant BIG, la Biennale, des espace d’art indépendant de Genève. Elle fut invitée spécialement par Jérôme Massard, Carole Rigault et Frederic Post en exergue de son container lié au ateliers de l’association L-Sud à Kugler. La performance RIDERS ON THE STORM, créa une présence apocalyptique au moment du coucher du soleil. L’intemporalité soudaine, le temps suspendu, la bruyance sonore, les nuages de fumée de sable rouge émanant des passages des motos, le chaos. Le public les regarda tourner en rond et se laissa sublimer dans les tornades de poussière pendant qu’ils formaient une boucle autour de nous. Magnificence des êtres et de leur dégaine, une représentation de la subculture dans ces limites. Oppression et sulfureuse extravagance la présence de ces pièces en soie fragiles dans ce décor de brut déclamant par sa force féminine et virile le «nous» d’un monde étrangement flottant entre-deux, comme les îles des morts. Le film court qui en découle est à la fois archive filmique d’un happening et film d’artiste expérimental. RIDERS ON THE STORM from Morillo Virginie on Vimeo.« It all start the day i came into being in the Yoshiwara at Edo. Surrounded by Geishas, I received the hallmark from the big shot in rock n’roll psychedelism, Dennis Hopper ».
Vues du vernissage MOTO le 3 novembre 2017
Vues du montage
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