Sport Body Administration – Group Show

20.03.14 au 15.04.14

SPORT BODY ADMINISTRATION
(collaboration avec la HEAD)

Curateurs:
Karen Alphonso et Jules Spinatsch
Liste de participants:
Asalya Israilova, Samuel Lecocq, Emmanuel Loiseau, Juliette Russbach, Mélanie Veuillet.

Présentée du 20 mars au 5 avril 2014 au Labo à Genève, l’exposition Sport-Body-Administration est le re?sultat d’un workshop mené sur une année par Jules Spinatsch, photographe-artiste, avec des éudiants de l’option Information / Fiction de la Haute e?cole d’art et de design – Genève.

Abordant l’univers du sport du point de vue des fédérations internationales et des organisations, il s’agit de ne pas montrer des corps à l’entrainement ou en compétition mais les efforts administratifs et techniques qui rendent possible et re?gulent les diverses disciplines sportives. Le terrain d’investigation du workshop se trouvait juste devant la porte : c’est autour du lac Léman que s’est installé le Comite? International Olympique à la fin du 19ème siècle, rejoint progressivement par presque toutes les fédérations internationales. Les diffe?rentes instances de contro?le, cre?e?es par le CIO, comme le Tribunal Arbitral du sport, les agences anti-dopage ou les socie?te? voue?es a? la commercialisation du sport se sont e?galement implante?es a? co?te? des fe?de?rations sportives.

Depuis 1896, date des premiers Jeux Olympiques des temps modernes disputés à Athènes, presque toutes les nations ont rejoint le Comite? Olympique et peuvent participer au Jeux ; même si certaines d’entre elles ont un système politique peu compatible avec l’esprit humaniste de?fendu par Charte Olympique. Cette contradiction, ainsi que la taille toujours plus importante des jeux, en font un e?ve?nement sportif sous haute influence politique et e?conomique. Au fond, la re?alite? actuelle des jeux est aussi peu libre de l’emprise politique que peut l’e?tre le marche? du libre-e?change.

Ce projet a débute? avec une visite de la bibliothe?que du CIO a? Lausanne ainsi que des promenades dans des institutions, jardins et sie?ges de fe?de?rations sportives. Dans les mois suivants, les e?tudiants ont de?veloppe? des projets personnels dont nous pouvons voir aujourd’hui une se?lection des re?sultats.

 

 

 

FLAT MONUMENT – Kristina Irobalieva

du 20.02 au 15.03.14
FLAT MONUMENT
exposition de Kristina IROBALIEVA

 

 

MAKITA SHOOTING – Angela Marzullo

du 24.10 au 09.11.13
MAKITA SHOOTING
une exposition de ANGELA MARZULLO

 

Live performance 20?

Video installation
Video camera go pro, Paintball tpn

Espace Labo, Geneva 2013

Blown them away, pooh! pooh! pooh!
flowering pink and flaming orange,
hello kitty! good-bye barbie! and heaps of whores on the floor. But between the time they took a shot of paint-ball
bullet on their tender plastic skin and the moment their virtual lungs expended a last breath, they danced. Not smooth and silky, like ballerinas, not stark and sultry like flamenco dancers, not
salacious and sexy like teen-porn-
singers, but danced like bodies
dying in slow motion, the gunner
thinking “dance, dance, dancing queen” but saying nothing. And then when enough dancing was done, they lay where they fell. In heaps. I could have cried.

 

lien vers le site web de Angela Marzullo

MEFIE-TOI DE LA SURFACE DES CHOSES – Group Show

du 11 avril au 8 mai 2013
MEFIE-TOI DE LA SURFACE DES CHOSES
avec Jean-Baptiste Bernadet, Thomas Bonny, Davide Cascio, Eric Croes, Olivier Fouchard, Vidya Gastaldon, Lea Jaecklin, Keiko Machida, Valentina Pini, David de Tscharner

Bisogna entrare da un altro paesaggio – Karim Forlin, Fabian Aydin

Bisogna entrare da un altro paesaggio

Une exposition de Karim Forlin et Fabian Aydin
du 1er au 23 mars 2013
vernissage le 28 février 2013

…l’ascension d’un col entre vapeurs d’un moteur qui surchauffe, prés verdoyants, sommets enneigés, enfants en pleurs, et une question obsédante par rapport à la signification du passage. Passare oltre…

Comment décrire ce parcours, physique, géographique et mental. Serait-il une sorte de recherche, mieux un embryon de quête. Y a-t-il un parcours linéaire, une suite logique, un mouvement préfixé ou prévisible, entre deux points, dont on connaît déjà l’emplacement ?

Travaux qui s’élaborent à partir de sensations et de souvenirs primitifs et qui questionnent la construction de l’identité individuelle et communautaire à travers les notions de circulation, de passage, d’échange, d’intériorisation, de transmission et de tradition.
Ces objets mis en rapport les uns aux autres, tendent, ici, à interroger de manière ouverte des parcours.