Twin Twist – Aloïs Godinat, Valentina Pini

Twin Twist
Aloïs Godinat et Valentina Pini
21 01 2017 – 05 03 17

Ouvert du mercredi au vendredi de 14h à 19h
ou sur rendez-vous: contact@espacelabo.net

 

 

Vernissage le 20 janvier 2017

Crédit photo Yann Le Floc’h

 

 

Brunch de finissage le 5 mars 2017

 

 

Plastique – Hayan Kam Nakache, Josse Bailly

Plastique

Josse Bailly & Hayan Kam Nakache
17 12 2016 — 13 01 2017

  • Carte blanche à Thomas Baud et Basile Dinbergs
    installation au sous-sol

Ouverture sur rendez vous: contact@espacelabo.net

 

 

 

 

chrysalide

Concert organisé par Rock this town extrafine durant la phase des travaux de restructuration du Labo.

Live et dj set de Al Lover ( San Francisco) artiste musicien en tournée européenne.

 

 

À propos – La lettre de candidature

Samedi 30 avril à 17h –Book launch

À propos La lettre de candidature

Présentation: Eva May et Laura von Niederhäusern
Lecture: Ludovic Chazaud

Robert Walser a écrit La lettre de candidature en 1914. Cent et un ans après l’édition artistique d’A propos ressort cette demande d’emploi peu conventionnelle de son enveloppe: le désir d’un emploi convenable, où on pourrait se glisser comme dans une «douillette cachette», paraît de nouveau d’une actualité provocante. C’est en envisageant l’écriture de Robert Walser comme une capsule temporelle qui entre en collision avec la situation d’aujourd’hui que Eva May et Laura von Niederhäusern questionnent les moyens et tactiques artistiques présents. Que signifie l’autonomie dans des structures qui sont, par définition, hétéronomes? De quelle façon une écriture inactuelle déploie un potentiel critique dans l’emprise actuelle de l’économie sur notre vie?

La publication bilingue est parue aux Éditions d’Uqbar (Genève), en collaboration avec Gitte Bohr – Club für Kunst und politisches Denken (Berlin).

Texte de Eva May, affiche d’artiste Laura von Niederhäusern.

Edition limitée : 200 exemplaires, numérotés, imprimés sur une
presse typographique Heidelberg chez Noir sur Noir, Genève.

Téléchargez le flyer ici


Le Labo
5 Boulevard Saint-Georges 1205 Genève

L’Espace Labo bénéficie du soutien de la Ville de Genève et de Pro Helvetia.

MEUTES et UNITES (jaurías y unidades) – Group Show

MEUTES et UNITES (jaurías y unidades)

Du 25.03.16 au 24.04.16
Ouverture les mardis & vendredis de 14h à 19h

Yvan Alvarez
Kim Seob Boninsegni
Lucia Martinez Garcia
Aymeric Tarrade

 

 

 

 

Ensemble distinct de choses ou d’êtres de même nature, réunis dans un même endroit. Ensemble plus ou moins organisé de personnes liées par des activités, des objectifs communs. Formation élémentaire du peloton ou de la section. Ensemble G muni d’une opération interne dans G, associative, qui admet un élément neutre et telle que tout élément a un symétrique et un seul. Foule, bande de gens acharnés contre quelqu’un, qui organise des événements pour satisfaire une haine à l’égard d’une communauté, d’un pays, d’un système.

Télécharger le communiqué de presse

 

Voir un extrait de vidéo de Lucia Martinez

le 6 avril 2016, 18h-21h

Gateway at dusk

Ouverture spéciale de l’exposition MEUTES et UNITES (jaurías y unidades) le 6 avril 2016 à l’Espace Labo de 18h à 21h parallèleemnt au vernissage de l’exposition de Kim Seob Boninsegni ENTRE CHIEN ET LOUPS à Truth and Consequences (7, boulevard d’Yvoy, 1205 Genève).

 

Dès le 16 avril 2016

Diffusion de « Saturne », un film vidéo de Yvan Alvarez et Kim Seob Boninsegni, avec Sonita Boninsegni et Eilott Vallirs à l’Espace Labo

Talweg 03

Pétrole Editions présente la revue, dans la cave de l’Espace Labo parallèlement à l’exposition Revolution in our lifetime.
13 février – 06 mars 2016
Ouverture mardi, mercredi et vendredi de 14h à 18h ou sur rendez-vous.

 

 

 

 

TALWEG 03

 

Vendredi 12 février 2016, dès 18h : Lancement de la revue TALWEG 03

Pétrole Editions

TALWEG 03– Transrevue
Pensées — Art contemporain

Le mouvement

TALWEG désigne la ligne d’intersection de deux pentes latérales d’une vallée, suivant laquelle se dirigent les eaux courantes.
TALWEG ne possède aucune contrainte technique ni formelle pérenne. Format, papier, impression, reliure, forment un système architectural propre à chaque numéro. Sa publication est annuelle.
TALWEG est un laboratoire de recherche où se côtoient des propositions plastiques et théoriques, points de vue artistiques, littéraires et scientifiques autour d’une réflexion commune.
TALWEG 03 est parue en janvier 2016 et porte sur la notion de MOUVEMENT. Elle s’inspire de la forme du journal d’informations, non relié, au papier fin. Fermé, l’objet est replié en deux sur toute sa hauteur; ouvert, ce pli forme une ondulation sur la surface des double-pages, creux et crête.

TALWEG03 rassemble neuf artistes / collectifs : Ludmilla Cerveny, Alex Chevalier, Emma Cozzani, Arthur Debert, ExposerPublier, Mickaël Gamio, Francois-Xavier Guiberteau & Anne-Emilie Philippe, Bénédicte Lacorre, Mountaincutters. Les auteurs Marie Richeux, Marie-Eve Lacasse, Nathalie Quintane et Montassir Sakhi ont été invités à se joindre à eux au sein de l’édition.

 

Revolution in our Lifetime – Davide Cascio

Du 12 février au 06 mars 2016

Davide Cascio

Revolution in your lifetime

Davide Cascio propose une installation environnementale. Elle intègre une série d’affiches titrées REVOLUTION IN OUR LIFE TIME. Cette série découle de la récupération des macules d’une édition réalisée avec Vincent Kohler en 2012, elle additionne et multiplie les couches et les techniques d’impression: offset, typographie, xylographie, monotype et collage.

Ces affiche-palimpseste REVOLUTION IN OUR LIFE TIME s’inspirent directement de la production graphique d’Emory Douglas (Ministre de la Culture du Black Panther Party de 1967 à 1980), elles représentent une tentative de déconstruction de ces images graphiques.

2 affiches encadrées, Revolution in our lifetime, 2015
Revolution in our lifetime, 2015, techniques mixtes sur papier, 46 x 64 cm

 

«Des drapeaux, des morceaux de papier ou des tissus avec des mots, dictés par l’urgence d’une révolution. C’est la légèreté et la danse totémique, le pouvoir précaire de l’instant qui s’opposent au poids rhétorique de l’histoire. L’anti-monument est là pour contredire le monument-même, pour en renverser la symbolique et exorciser son magnétisme idéologique juste avant qu’il soit détruit, effacé».

détail accrochage installation Revolution in our lifetime, Espace Labo, 2016
Détail, installation Revolution in our lifetime, Espace Labo, 2016

Pour Davide Cascio, les drapeaux, les morceaux de papier ou les tissus se réfèrent à des pièces «molles» dans la tradition de l’art minimal, comme les caoutchouc de Richard Serra ou les feutres Robert Morris.
Ces matériaux enveloppent le spectateur dans un lieu de repos et favorisent l’agrégation spontanée comme l’Auditorium de Franz West à la Documenta de 1992 (72 divans en fer sur lesquels étaient posés des tapis d’Orient usagés, utilisés comme sièges par le public).

Davide Cascio, Revolution in our lifetime, dangling painting1
Détail 2, installation Revolution in our lifetime, Espace Labo, 2016
Davide Cascio, Revolution in our lifetime, Espace Labo, 2016
Détail 3, installation Revolution in our lifetime, Espace Labo, 2016
L’exposition REVOLUTION IN OUR LIFE TIME a reçu le soutien du Fonds d’Art Contemporain et de Pro Helvetia.

Davide Cascio (1976) vit et travaille à Lugano et à Paris. Membre de l’Institut Suisse de Rome pendant deux ans (2004-06), il a gagné le Prix Vordemberge-Gildewart en 2005 et le Prix-culturel Manor pour le canton du Tessin en 2007. Il a exposé en Suisse à la Kunsthalle de Bâle, au Kunstmuseum de Glarus et de Thun. Il a exposé à «La chambre» de la galerie Xipppas et au FRAC centre d’Orleans. Il a été résident au Pavillon du Palais de Tokyo à Paris (2009-2010), à Astérides à Marseille en 2011 et en 2012 à la Box de ENSA Bourges. En 2014 est en résidence à la Fondation d’entreprise Galeries Lafayette à Paris. A Partir de septembre 2015 est doctorant au SACRe PSL/ENSBA à Paris.

 Photographies: Yann Le Floc’h

[ʀ] [ʁ] [r] – Group Show

[?] [?] [r]

Du dix huit novembre deux mil quinze au vingt-neuf janvier deux mil seize

Bailly Josse
Bianchini Alexandre
Billotte Benoît
Bogana Alan
Bonny Thomas
Carera & Montesinos
Cascio Davide
Castro Diego
Dafflon Mathieu
Ding Emilie
Deletra Hanna Henry
Dénervaud Guillaume
Dussoix Hadrien
Evrard David

EW
Gygi Fabrice
Forlin Karim
Legros Romain
Levasseur Yves
Lippert Beat
Marzullo Angela
Missika Adrien
Mudry Yoan
Post Frédéric
Riniker-Radich Marta
Sgouridis Konstantin
Wagnières Nicolas
[?] [?] [r]

C’est une exposition collective évolutive. Afin de pousser les limites du possible permises par un espace libre, Karen Alphonso propose de déployer la richesse d’une collection en mutation perpétuelle. Une tentative de programmation décomplexée de sortir du cadre d’une exposition conventionnelle avec un début et une fin. Elle s’entoure de vingt-neuf artistes qui pour la plupart ont aussi géré dans le passé des espaces d’art indépendants (Forde, Shark. Gitte Bohr, Komplot, Duplex,…) dans l’idée de construire ensemble.
Suite à l’invitation, acceptée à l’unanimité les artistes mettent à disposition une ou plusieurs pièces sur la thématique de la ruine. Les oeuvres seront présentées par une scansion déterminée qui permettra de découvrir une exposition en perpétuelle mutation, qui transposent l’idée de faux paradis, de révolution absurde et d’illusion. Quelque chose de désespérément contradictoire et pourtant extatique, des visions, des positions.
En gardant les même clous, les pièces sont remplacées par d’autre. Chaque jour quelque chose change. Les conventions liées aux expositions sont ainsi détournées. L’idée d’une exposition infinie est venue de l’envie d’éviter les phases de creux pendant les démontage et rénovation. Rester en mouvement, rester en vie, changer de point de vue, montrer les revers.
Déployées durant trois mois, les ressources de cette collection permettent divers dialogues qui se tissent entre les pièces selon les divers accrochages. L’exposition se module chaque semaine, elle se déploie, réponds aux actualités, les accrochages se font pendant la nuit. Des pièces sont rajoutées ou déplacées. Les visiteurs découvrent un univers modifié. Un dialogue différent s’établit entre les œuvres. De nouveaux artistes sont invités à intervenir.
Cette exposition questionne le fonctionnement d’un espace d’art libre, un questionnement de la position de l’artiste, de celle du curateur, de la peinture, du support. Elle prends part à l’actualité, reste utopie.

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Dans [?] [?] [r] il y à: reproduire, refaire, remâcher, ressasser recopier, répercuter, réviser, revoir, référer, rester, réduire, rythmer, rassembler, reproposer, rire, ronronnement ou rage. C’est une guérilla interne, une révolution, un rêve, une rave.

Un vitrail néo-géo éclaire le trottoir et s’obscurcira avec le temps / un texte manifeste en distribution libre disparaîtra / des posters révolutionnaire seront retourné pour présenter leur revers imprimés / une peinture à l’huile, déroulée à moitié est suspendue sur son tube, puis enroulé changeant de statut/ un drapeau transfiguré en molécule d’eau flotte sur diverses surfaces / des surfaces sont explorées / des dessins critiquent de manière ironiques / Beat bat des records, coure à travaers le Louvre / la peinture est collage / les papiers decoupés/ une empreinte peinte à l’huile accuse le flegme/ un poisson regarde une mouche qui vole au ralenti / un livre retrace l’histoire d’un espace d’art indépendant à Bruxelles / des spirales changent de couleur / les bétons se déplacent / les supports vidéos se modifient /le son rentre en scène, les pensées de Pasolini sont diffusées à travers les voix / la pardade du 1er mai est diffusé le 1er décembre /  la lumière devient oeuvre / des hologrammes apparaissent / le sol se recouvre de plaques colorées / Samothrace trône / les murs sont colorés /  «Ci-l’envers» de Fabrice Gygi suspendu dans l’espace tout au long de l’exposition invite à voir le monde d’une autre façon.

Karen Alphonso

Ouverture du mercredi au vendredi de 14h à 18h
ou sur rdv: contact@espacelabo.net
www.espacelabo.net

Walking a metaphor – Cyril Bron, David Fuehrer

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24.09.15 – 30.09.2015

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Cyril Bron & David Fuehrer

Opening thursday september 24th · 10am

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En partenariat avec :
Recyclart (Bruxelles)
Urbanspree (Berlin)
Archipel Centre De Culture Urbaine (Lyon)
Un projet proposé par Fahid Taghavi

Marche urbaine autour du ring de Bruxelles entre le 24 et le 30 septembre 2015.

 

«(…)parcourir la ville hors des circuits balisés, transgresser les parcours définit par le fonctionnement urbain et la rationalité. Si la rationalisation conditionne les déplacements, elle conditionne aussi la manière de penser, et nos modes de consommation. Nous voulons justement sortir de ce que nous imposent les déplacements quotidiens, insuffler de la poésie dans notre mouvement et affirmer notre subjectivité comme une réinvention et une redécouverte de l’environnement urbain. Mais l’expression de la subjectivité est en réponse à un espace, elle commence ailleurs et avant nous, elle nous précède, et nous l’excédons dans la réponse. Dans cette faille temporelle, dans cet interstice incertaine, ce sont les zones urbaines qui vont littéralement nous traverser. Notre outil de travail sera la dérive, celle des situationnistes: « le passage hâtif à travers des ambiances variées » (Guy Debord, Théorie de la dérive). Celle-ci nous permettra de naviguer sur les eaux inconnues de la ville, de nous laisser porter par les courants et les ressacs.»

Pendant 6 jours, Cyril Bron et David Fuehrer ont suivi un itinéraire qu’ils ne pourront jamais ré-emprunter. Ils marchent au plus près du Ring de Bruxelles. Zones sans trottoirs, ils inventent un tracé entre glissières et forêts, barrières et talus, ponts et tunnels. Ces différents franchissements ouvrent l’espace sur des paysages inattendus. Ils sont équipés d’une caméra qui transmet en direct un flux d’images et de sons. Il s’agit de questionner l’autoroute qui apparait comme une métaphore de notre époque. Par le dispositif de production d’images et de sons, le spectateur est confronté à une télé-présence, proximité lointaine, anonyme et artificielle. Artistes et spectateurs éprouvent l’étrangeté d’une expérience qui mêle à la fois les résidus urbains et la technologie, les laissés pour compte et des propriétés sous haute protection. Cyril et David nous invitaient à venir les rejoindre pour dessiner avec eux un chemin éphémère.
La marche s’est déroulée du 24 au 30 septembre le long du périphérique de Bruxelles et a été diffusée en direct de 14h à 19h, simultanément dans 4 lieux?: Recyclart (Bruxelles), Espace Labo (Genève), Urbanspree (Berlin), Archipel Centre De Culture Urbaine (Lyon).
Le point de départ de la marche était fixé à Recyclart le 24 septembre 2015.
Les vernissages ont démarré simultanément à 10h.